Incontournables
Si vous optez pour l'intérieur, vous pourrez découvrir son histoire et son paysage atypique, des lieux comme Bocairent, Requena, Morella, Sant Mateu, Biar, le Castell de Guadalest sont certaines des municipalités que vous ne voudrez pas rater. Et pour découvrir l’essence pure de la Méditerranée, une promenade dans les rues de Jávea, Peñíscola ou Gandia, entre autres, elle sera un délice authentique. Une journée de soleil et de plage dans un environnement unique !
De plus, la cuisine traditionnelle et faite maison de chacun des lieux mettra la touche finale à votre séjour. Vous ne pouvez pas dire que vous nous avez rendu visite sans essayer la paella cuisiné en bois ou du riz préparé avec des ingrédients traditionnels. Une magnifique expérience que votre palais n'oubliera jamais !
La Iglesia de la Virgen de la Huerta, l’église de la Virgen de la Huerta à Ademuz, dans le canton d’El Rincón de Ademuz et l’arrière-pays de la province de Valencia, est un superbe temple roman et un trésor qui caractérise le village. Ses origines remontent au XIIe et au XIIIe siècles. Au fil du temps, il a été enrichi d’autres détails et éléments de différents styles architecturaux.
L’église de la Virgen de la Huerta présente une façade unique avec un porche soutenu par 2 colonnes. L’occasion d’admirer les polychromies que l’on peut encore apercevoir sur l’arc entourant la porte, avec un élément peu commun : des inscriptions en hébreu. À l’intérieur de l’église de la Virgen de la Huerta, on retrouve 3 nefs avec des arcs romans et d’anciennes fresques qui décorent les parois et les voûtes.
Les peintures de style gothique consacrées à Marie-Madeleine attirent particulièrement l’attention. À Ademuz, en plus de la visite de l’église de la Virgen de la Huerta, de nombreux monuments dans le village et dans ses environs vous attendent. Le surprenant gisement ibère de La Celadilla ou le château d’Ademuz font partie du fantastique patrimoine historique que vous réserve cette localité au bord du fleuve Turia. Vous allez manquer ça ?
L’église paroissiale de la Asunción de María est l’église principale de Catí, dans le canton de l'Alt Maestrat. Elle se trouve dans le centre de la localité et fut construite sur un laps de temps allant du XIIIe au XVIe siècle, par le biais de techniques telles que la pierre de taille et la limousinerie.
L’église de Catí est consacrée à l’Assomption de la Vierge et, depuis 2004, elle a été déclarée Bâtiment singulier et Bien d’importance locale, dans la catégorie Monument d’intérêt local.
L’entrée secondaire de l’église est de style roman et plusieurs éléments nous offrent des indices sur le début de sa construction, lors des premières années de la reconquête de Catí. Elle est formée par une unique nef de 32 m sur 10,5 m, divisés en 4 portions avec 3 arcs diaphragmes couverts par une charpente en bois. Avec le temps, on a ajouté des chapelles latérales et des autels. Ce sanctuaire gothique a été sujet à plusieurs rénovations au fil du temps.
C’est au XVIIIe siècle que l’on érige la chapelle de la Comunión, avec une fresque de Pascual Mespletera qui mérite d’être appréciée de près.
Vous vous demandez quoi voir à Catí ? Faites une petite pause dans cette église et admirez le patrimoine historique de la ville. Une expérience à vivre de vos propres yeux !
Le Castillo y Murallas de Vistabella del Maestrat, le château et les murailles de Vistabella del Maestrat, font partie du fascinant patrimoine de cette commune où le temps semble s’être arrêté. Le château se trouve sur un monticule où vous retrouverez aujourd’hui un panneau d’information et surtout, une vue incroyable.
Les murailles protégaient autrefois la localité et on peut encore retrouver leurs traces dans certaines portes, ruelles et demeures, sans oublier les ruines de parois en bord de ville.
En plus de son château et de ses murailles, l’histoire vous attend au fil de vos balades dans les ruelles de Vistabella del Maestrat. C’est le cas de l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora, de style Renaissance. Vous aurez même la possibilité de faire de belles randonnées dans le Parc naturel du Penyagolosa. N’attendez plus pour préparer votre séjour !
Le château et les murailles d’Oropesa del Mar se trouvent dans les hauteurs de la vieille ville, un emplacement stratégique pour contempler l’immensité de la mer et des terres. Il vous suffit de monter au sommet pour profiter d’une superbe vue panoramique.
On peut aussi voir les champs d’orangers entre Marina D’Or et Oropesa del Mar, la chapelle de la Virgen de la Paciencia, les résidences perchées sur les falaises du littoral, les plages et les montagnes à proximité.
Quant à son architecture, le château présente une forme polygonale régulière, avec 6 tours ouvertes en éventail et une belle tour principale à la forme trapézoïdale. Actuellement, il ne reste plus que la structure musulmane de la muraille avec ses 4 tours.
Les ruines que vous pourrez voir au cours de votre visite du château et des murailles d’Oropesa del Mar sont le résultat d’un plan de récupération et de fouilles archéologiques à Oropesa del Mar, qui a permis de déterrer la structure d’origine musulmane et de constater qu’on vivait dans cette zone depuis l’âge du bronze. Les fouilles ont mis en lumière certaines salles du château et on peut même contempler le sol original à certains endroits.
Le château et les murailles d’Oropesa del Mar sont forts d’une riche histoire. Ce fut le Cid qui prit la forteresse musulmane au roi Alhagib en 1090. Depuis, elle passa sous le contrôle des chrétiens qui utilisèrent l’importance stratégique de son emplacement. Plus tard, le château passa sous le contrôle de Jacques Ier d’Aragon (1233).
Profiter d’Oropesa del Mar, c’est profiter de ses plages, de ses montagnes et de toute l’histoire et la culture que vous réserve son centre historique.
La Ermita de la Virgen de la Soledad, l’ermitage de la Virgen de la Soledad de Cheste est une belle chapelle de style néoclassique : une étape incontournable lors de votre visite de la localité, célèbre pour son circuit automobile.
Un temple plus ancien, du XVIe siècle, se trouvait sur le lieu actuellement occupé par l’ermitage de la Virgen de la Soledad. La chapelle actuelle présente une jolie façade réalisée au XXe siècle et une seule nef à l’intérieur. Une visite paisible en perspective !
En plus de cet ermitage, à Cheste, ne manquez pas l’église paroissiale de San Lucas Evangelista, du XVIIIe siècle et à flânez tranquillement dans les ruelles typiques avec leurs façades traditionnelles. N’attendez plus pour connaître Cheste !
La Iglesia Parroquial de la Asunción de Nuestra Señora, l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora de Pego, dans la province d’Alicante, est un superbe temple gothique du XVIe siècle à visiter absolument.
Des éléments de la Renaissance composent également le style de l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora qui a été bâtie sur le site d’une ancienne mosquée. L’histoire de Pego se reflète sur les murs de ce monument.
À la suite d’un tremblement de terre au XVIIe siècle, il fallut reprendre les travaux de l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora, qui est finalement devenu un bâtiment éclectique abritant de grandes œuvres d’art de différentes périodes.
Pendant votre escapade à Pego, consacrez un peu de temps pour voir les retables de la Virgen de la Esperanza et d’El Cristo de la Providencia, datant tous deux du XVe siècle à l’intérieur de l’église. La Doble Verónica, pour sa part, est considérée comme l’un des tableaux les plus importants du gothique valencien du XIVe siècle.
En plus de la visite de l’église paroissiale de la Asunción de Nuestra Señora, à Pego, vous aurez aussi la possibilité de voir le château d’Ambra après une randonnée toute simple ou encore le Parc naturel de la Marjal de Pego-Oliva, un véritable paradis pour profiter de la biodiversité et du paysage. N’attendez plus pour préparer votre séjour dans ce recoin de La Marina Alta !
Parcourir les rues de València et contempler le patrimoine… où que vous alliez, vous finirez toujours par aller vers un monument cher au cœur des valenciens : le temple de la Geperudeta, le nom que donnent les habitants à la Virgen de los Desamparados. Ce surnom affectueux est dû au fait que l’image est légèrement inclinée vers l’avant.
La visite de la Basilique de Nuestra Señora de los Desamparados est un arrêt obligatoire lorsqu’on visite València. Ce lieu de culte plein d’histoire, de culture et de tradition a été bâti au XVIIe siècle.
Par rapport à son architecture, on peut voir que la coupole n’est pas au centre, mais situé à proximité de la Cathédrale. Le sanctuaire a été érigé sur un ancien forum romain et il est relié à la Cathédrale par un arc de la Renaissance. À l’intérieur, tout gravite autour de l’image de la vierge, une sculpture gothique en bois recouverte par une cape et des bijoux. Quant à la coupole, les fresques qui y ont été peintes en 1701 par Antonio Palomino vous surprendront par leur fraîcheur. Elles ont été récemment restaurées pour que vous puissiez les admirer dans toute leur splendeur.
La Basilique Royale de la Virgen de los Desamparados vous propose aussi de visiter le musée consacré à la Patronne de València qu’elle abrite. Une exposition avec une sélection variée d’œuvres de grands maîtres et d’objets allant de la peinture, de la sculpture, de l’orfèvrerie et bien plus encore vous attendent.
La Basilique a été déclarée Monument historique et artistique national le 5 juin 1981.
Un lieu où dévots et touristes viennent vénérer la Virgen de los Desamparados et contempler ce superbe monument de la ville de València.
Les tours de Quart, intégrées à la primitive muraille chrétienne de la ville, maintiennent un modèle similaire à la Porte de Castel Nuevo de Naples. La structure possède trois parties: deux tours cylindriques et un arc en plein ceintre qui les unie en formant une porte. À l’origine elles fûrent bâptisées comme les Tours de la Cal (chaux), puisque pendant beaucoup de temps on exigeait que la chaux qui entrait dans la ville le fasse à travers ces tours. Pendant ses siècles de vie elle ont eu diverses fonctions telles que prison pour les femmes ou prison militaire. Son entretien extérieur garde encore les mortaises que subît la structure lors des bombardements à la ville en 1808.